Epalinges: nouvelle ligne de bus?

Grand soleil«Il se dessine du nouveau à l’ouest d’Épalinges. Les futurs développements de la commune se situent en effet de ce côté-là de la route de Berne. Raison pour laquelle il apparaît désormais important aux yeux des autorités d’y renforcer la couverture en transports publics, «afin de proposer aux futurs habitants une alternative à la voiture individuelle». Dans un rapport au Conseil communal, la Municipalité dévoile le tracé d’une prochaine ligne de bus TL.» Suite de l’article dans 24 heures du 27 avril 2019 sous la plume de Laurent Antonoff (graphique 24 heures).


Réforme du trafic régional: les bus aux cantons?

Soleil et nuagesLa réforme du transport régional de voyageurs, mise en consultation par le Conseil fédéral, pose des jalons essentiels pour la mobilité de demain. Mais le train reste le moyen de transport le plus propre: il serait dommageable que la réforme engagée se traduise par un remplacement de prestations ferroviaires par des services de bus. Analyse du projet par Bernard Wuthrich dans l’éditorial et en page intérieure du quotidien le Temps du 18 avril 2019. Lire aussi le communiqué du Conseil fédéral du 17 avril.

TGV Lausanne–Paris via Vallorbe: la vision de Lyria

Soleil et nuagesLe nouveau patron de TGV Lyria, Fabien Soulet, défend sa stratégie qui vise à prendre des parts de marché à l’avion. Il assure que la ligne Lausanne–Paris, via Vallorbe, est pérenne. Lausanne et l’ensemble des Vaudois sont les grands bénéficiaires de la refonte du nouvel horaire. Aujourd’hui, il y a quatre ou cinq liaisons par jour Lausanne-Paris, demain ce seront six trains par jour, dont trois via Genève. Suite de l’interview de Fabien Soulet par Renaud Bournoud dans 24 heures du 18 avril 2019 (photo Florian Cella). Lire aussi le communiqué de presse du Comité de suivi du Lyria du 12 avril, l’interview de Fabien Soulet par Bernard Wuthrich dans Le Temps du 18 mai, ainsi que l’éditorial plus critique de Charaf Abdessemed dans LausanneCités du 22 mai.

Le pamphlet de Matthias Finger: «Que faire des CFF?»

Soleil et nuagesMatthias Finger, professeur EPFL, est un fin connaisseur des entreprises publiques suisses. Il publie en mai prochain, aux éditions NZZ Libro, un pamphlet sur l’avenir des CFF et de l’Office fédéral des transports, sur lequel il porte un regard à la fois constructif et très critique. Bernard Wuthrich l’a interviewé dans Le Temps du 17 avril 2019 (photo Eddy Mottaz, Le Temps). De son côté, Yvette Jaggi analyse les propositions de Matthias Finger dans un article paru dans l’édition du 20 mai 2019 de Domaine Public.

Stadler Rail: brillante entrée en bourse

Grand soleil«Le fabricant thurgovien de matériel ferroviaire fait une entrée remarquée sur les marchés. Un succès qui reflète celui de l’entreprise. «La société représente la parfaite combinaison de l’esprit de pionnier, de l’innovation et de l’entrepreneuriat durable», commentait le patron de l’opérateur boursier SIX, Jos Dijsselhof, vendredi. Ce compliment, il l’adresse directement à Peter Spuhler, président du conseil d’administration et propriétaire de Stadler Rail.» Suite de l’article dans Le Temps du 13 avril 2019, sous la plume de Rachel Richterich (photo Gaëtan Bally/Keystone).

 

Feu vert pour le Giruno, premier train suisse à grande vitesse

Grand soleilL’Office fédéral des transports a accordé le 4 avril 2019 au nouveau train à grande vitesse Giruno de Stadler une autorisation d’exploitation limitée pour circuler à 200 km/h en traction simple sur le réseau suisse. Il confirme que ce train roule de manière sûre. Les CFF entendent mettre le Giruno en service à partir du début 2019; à moyen terme, le train devrait circuler sur l’axe Francfort–Bâle–Milan à la vitesse maximale de 250 km/h. Plus de détails dans le communiqué des CFF.

TGV Lausanne–Paris via Vallorbe menacé

Soleil et nuagesDénonçant une détérioration de la desserte, les autorités vaudoises se mobilisent pour la ligne Lausanne–Paris via Vallorbe. Actuellement, quatre liaisons aller-retour quotidiennes Paris–Lausanne passent par Vallorbe et une cinquième par Genève. Pour l’année prochaine, il est prévu d’avoir trois liaisons par Vallorbe et trois par Genève. La présidente Nuria Gorrite pense que l’option via Genève est mauvaise en raison de la surcharge endémique la ligne Lausanne–Genève. Tous les détails dans 24 heures du 30 mars 2019 sous la plume de Renaud Bournoud (photo Olivier Allenspach).

Olivier Bronner reprend les rênes du LEB

Soleil et nuagesOlivier Bronner, nouveau délégué de la direction des Transports publics de la région lausannoise (TL) au LEB (Lausanne-Echallens-Bercher), a pris ses fonctions le 11 mars 2019. Sa nomination coïncide avec une série de mesures destinées à améliorer la qualité du service aux voyageurs: deux bus articulés avec leur chauffeur sont désormais en permanence à disposition à Échallens, et un collaborateur a été nommé pour analyser les chantiers à venir, identifier les risques de problèmes et préparer des solutions de secours. Olivier Bronner attend beaucoup de l’introduction de la cadence à 15 minutes jusqu’à Échallens dès le 11 août prochain, un  nouveau défi pour le LEB. Plus de détails dans 24 heures du 29 mars 2019 sous la plume de Sylvain Muller (photo Odile Meylan).

Bernard Guillelmon, patron du Berne-Lötschberg-Simplon

Grand soleil«Après les télécoms, la Poste et l’électricité, le vent de libéralisme souffle sur les chemins de fer. Et c’est un Vaudois, à la tête d’une des plus grandes entreprises bernoises, qui pourrait bénéficier d’une rupture du monopole dont jouissent les CFF. Bernard Guillelmon, 52 ans, est depuis plus de dix ans le directeur général de la compagnie BLS (pour Berne-Lötschberg- Simplon) qui, avec ses 3000 employés, est le numéro deux du transport ferroviaire en Suisse. Il est en attente d’une décision juridique qui lui octroierait l’exploitation de deux lignes RER aujourd’hui en mains de l’ancienne régie fédérale.» Suite et fin du portrait dans 24 heures du 25 mars 2019 sous la plume d’Alain Détraz (photo Odile Meylan).

Renaissance de la ligne Lausanne–Berne?

Grand soleilLausanne–Berne: un tronçon CFF capital, mais trop lent. Depuis Berne, un train met 66 minutes au minimum pour rejoindre Lausanne. Alors, quelles solutions? D’abord augmenter la vitesse. Aujourd’hui, un convoi roule à 95 km/h entre Lausanne et Berne, mais à 175 km/h entre Berne et Zurich. Le conseiller aux Etats Olivier Français a déjà proposé plusieurs variantes pour combler ce retard. Puis la valorisation de la ligne de la Broye et le percement d’un tunnel jusqu’à Vauderens ou Châtillens, pour éviter le détour par Puidoux (voir infographie). Dossier complet dans Le Matin Dimanche du 24 mars 2019, sous la plume de Dominique Botti (infographie ARC Jean-Bernard Sieber, Florian Cella).